L'écriture de "Pour nos enfants": un acte de résistance!
Pour nos enfants
Notre maison brûle, et nous regardons ailleurs. Pourtant nos enfants sont dedans.
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« Pour nos enfants » d'Olivier RIBAULT, une fiction qui parle d'écologie et qui propose des solutions singulières à la survie de l'Homme.
Présentation de l'auteur :
Olivier RIBAULT est un aventurier des régions sauvages du Canada, de l'Alaska ou du Spitzberg. Il aime vivre parmi les ours et les baleines, les loups et les aigles, sans arme à feu, avec seulement sa tente, son kayak, et de quoi écrire.
Ainsi son roman a été conçu pendant ses expéditions, dans des forêts primaires ou des déserts glacés, sous les aurores boréales ou au coin d'un feu, loin des Hommes.
Une Nature intacte et rude, l'absence de matérialité et l'isolement permettent une mue spirituelle. Alors l'envie d'écrire le harcèle. Et c'est dans ce changement radical de vie que réside la raison principale de ses idées singulières et sa liberté d'écriture. Forcément son roman est atypique, car il raconte tout simplement ce que la Nature lui a chuchoté alors qu'il vivait en harmonie avec elle. Ainsi Michel, le héros, aventurier intarissable, retrouve comme Olivier Ribault les instincts des animaux et devient le nouveau chaman qui communique avec l'Esprit de la Forêt.
Introduction :
« Notre maison brûle, et nous regardons ailleurs. Pourtant nos enfants sont dedans ». Nous participons tous à ce suicide programmé de l'Homme. Les innocentes générations futures sont sacrifiées, condamnées par les pollutions et le nucléaire, le réchauffement climatique et le pillage des ressources animales, végétales et minérales de la planète. Nous sommes tous coupables de ce désastre, avec des circonstances aggravantes si nous ne faisons rien, car nous savons et le temps presse. Cet infanticide planifié et planétaire est injuste et intolérable. Mais pourquoi donc acceptons-nous de condamner nos enfants, alors que nous les aimons plus que tout?
Constat :
L'Homme d'aujourd'hui est malade. L'hypnose des écrans et le matraquage du marketing, notre cupidité malsaine et notre matérialisme insensé nous éloignent de la Nature, dirigent nos actions, programment nos vies, altèrent notre discernement et notre liberté d'agir. L'argent achète les consciences ! Mais que pouvons-nous faire pour éviter que nos enfants ne nous maudissent ? Pouvons-nous encore sauver les générations futures? Malheureusement nous ne voyons aucune solution acceptable et nous fermons les yeux, presque tous. Alors notre esprit nous fait mal et nous torture. Par conséquent comment pourrons-nous accéder à la paix intérieure, au but de l'existence ?
Synopsis :
Heureusement un remède à notre survie, encore secret, existe ! Comment pourrait-il en être autrement ? Un chaman l'a découvert depuis peu, enfoui dans la mémoire de la Nature. En effet au Canada, au cœur de la forêt pluviale du Grand Ours, dans une région totalement intacte, coupée du monde et des Temps, vivent en harmonie avec leur environnement les Indiens Gitga'ats. Ils vénèrent Raven, le corbeau créateur de leur Terre, gardien de la Sagesse. Ils croient en Moksgm'ol, l'Ours Esprit, un plantigrade noir devenu blanc, pur comme la neige. Selon eux cette fabuleuse créature, si rare, est l'incarnation de l'Esprit de la Forêt. Il serait doué de pouvoirs immenses, que ses Chamans connaissent bien. Aujourd'hui l'un d'entre eux, un aventurier nommé Michel, nous révèle le secret de l'Ours Esprit, la clé de notre survie, notre seul espoir.
Mon roman est emprunt de philosophie et de spiritualité. La liberté, la vie et la mort, le bonheur et l'argent, l'amour et la guerre, mais aussi la beauté, le mensonge et la paix intérieure, le but de l'existence et la fraternité, le passé et l'avenir sont abordés sans ménagement. Voulez-vous savoir ce que pense la Nature du comportement destructeur de l'Homme, de sa folie matérialiste et de son monde décadent? Oserez-vous lire ce que l'Ours Esprit a murmuré à son Chaman? Croirez-vous en l'Esprit de la Forêt, comme les Indiens Gitga'ats, comme Michel, comme moi ?
Laissez-vous tenter par l'Aventure.
Si vous lisez ce roman, sachez qu'il est une « fiction réelle ». Les Indiens Gitga'ats de Colombie Britannique et l'ours « kermode » existent véritablement, comme leurs chamans. De même, presque toutes les aventures évoquées ont été effectivement vécues par l'auteur. Évidemment le dénouement, le secret d'une Nature qui ne ment pas, sera révélé. Oui, un antidote inédit aux maladies de l'Homme, un remède atypique à notre survie existe vraiment !
Vous ne voulez plus condamner vos enfants, vous voulez guérir, résister, déconnecter, ne plus être un clone docile et sans conviction d'une société de consommation non viable, alors découvrez l'histoire de l'Ours Esprit.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, voici un résumé des commentaires de mes premiers lecteurs et une synthèse des thèmes de mes écrits :
1) Le respect de la Nature et de l'Homme
Les thèmes abordés dans mon écrit, intégrés à la fiction, sont plus que jamais d'actualité.
-La quête d'un bonheur simple, sans excès de biens matériels. Être plutôt qu'Avoir, avec le rejet de la société de sur-consommation et le refus du « rêve américain » pour seule réussite de sa vie. Pourquoi obéissons-nous au marketing, sans discernement, sans modération ? Le bonheur n'est-il pas plus grand et pérenne lorsque l'on vit simplement, sobrement, modestement ?
-La destruction de l'environnement par notre mode de vie actuel, incompatible avec la survie des générations futures que nous ne respectons pas. Pourquoi acceptons-nous de sacrifier nos propres enfants ?
-Les solutions possibles et acceptables pour reconstruire un monde viable. Mes romans ouvrent de nouvelles portes, offrent une échappatoire, apportent des réponses inédites. Mes lecteurs y trouvent de l'espoir, une chance de sauver leurs descendants.
2) L'univers de l'Aventure et les justifications d'une écriture particulière:
A travers Michel, le baroudeur de ma fiction, je décris la transformation spirituelle que je subis au contact de la faune et de la flore pendant mes escapades boréales. En effet, je suis un écrivain qui depuis plus de trente ans s'évade en kayak ou à pied dans les régions les plus sauvages du globe. Comme Michel dans mes écrits, lors de chaque expédition je m'isole volontairement plusieurs semaines, loin des hommes et de leur cupidité, loin du conditionnement du marketing et de l'hypnose des écrans.
Alors mes randonnées extrêmes et le camping sauvage parmi les ours et les loups, sans arme à feu, m'imposent l'ivresse de l'adrénaline. Dans cet état second, j'approche en kayak les énormes baleines, mes nouvelles amies, jusqu'à en respirer leurs souffles. Je survie dans cette nature sauvage et impitoyable, avec le plaisir des souffrances et l'extase de ne rien posséder, avec une douce solitude comme compagnon d'aventure.
Et c'est dans ce changement radical de vie que réside la raison principale de mes idées singulières et ma liberté d'écriture. En effet, dans la Nature, je m'enrichis d'une existence sans contrainte sociale ni mensonge, sans superflu ni matérialisme. Je m'efforce de vivre en harmonie avec la forêt primaire ou la toundra, sans polluer ni détruire. Petit à petit je redeviens un animal, j'écoute la faune et la flore, qui me parlent et me nourrissent. Sur un glacier ou un volcan, sous les étoiles ou sur l'océan, dans une forêt ou un désert, je médite et l'envie d'écrire me harcèle. Pendant une garde nocturne en compagnie d'un feu protecteur, ou en sécurité dans une cabane par rapport aux prédateurs, la bête sauvage qui s'est réveillée en moi, prend des notes authentiques pour ses futurs lecteurs.
Souvent la faim ou le froid, les tempêtes ou les efforts physiques, la peur des ours ou la solitude me font souffrir. Mais l'instinct de survie et la liberté absolue, que l'Homme moderne a abandonné au profit de sa sécurité et de son confort, renaissent en moi et me permettent de résister. Pour y parvenir, je me métamorphose en une créature sauvage, mais un animal qui pense, de façon naturelle, libre et insoumis. Alors j'écris ce que je ressens dans cet état second, et c'est ce qui fait l'originalité de l'intrigue et de mes idées philosophiques, la particularité des propositions que mon roman apporte en faveur de la sauvegarde de l'humanité et de l'environnement.
La Nature ne ment pas, ses messages sont des vérités intemporelles et universelles quand on prend le temps de l'écouter, quand on est capable de l'entendre, tel un chaman. Ses paroles vertueuses et justes touchent mes lecteurs, conscients du massacre de notre planète et par conséquent terrifiés par le désastreux avenir imposé à leur chère progéniture. Nous sommes prêts à tout pour notre descendance, mais pourtant notre pillage de la Terre condamne les générations futures. Pour nos enfants, nous éprouvons l'amour le plus intense qui soit. Dès lors il était indispensable que mon roman s'appuie sur cette énorme sensibilité de chaque parent envers sa fille ou son fils, dans le but de provoquer un déclic émotionnel suffisamment important, capable de remettre en question notre culture de la consommation et de résister à ses excès dévastateurs, malgré le puissant conditionnement de notre société mercantile.
A l'inverse, comme Michel après chaque retour d'expédition, l'animal que j'étais redevient en France un homme moderne. A la relecture de mes manuscrits, mes « pensées sauvages » m'étonnent et m'ouvrent les yeux. Mes écrits sont en quelque sorte ceux d'un ours, un ours « humain ». Grâce à cette prise de recul indispensable, je suis en mesure d'affirmer et de prouver que l'Homme et la Nature peuvent s'entendre, cohabiter de façon pérenne. Mon roman est par conséquent porteur d'espoir.
C'est l'univers de l'expédition, cette vie en équilibre avec les éléments, en harmonie avec la Terre, cette recherche de la paix intérieure, de l'entente avec sa conscience, du bonheur sans richesse matérielle qui a fasciné mes lecteurs tout au long de mon ouvrage, car leur vie moderne, programmée, sans liberté, stressante et rationnelle, matérialiste et destructrice, est si éloignée de la nature. Mais la lecture n'est-elle pas également une aventure, une prise de risque, une double vie, une quête de bien-être et de spiritualité, une recherche de sa propre nature ?
Bien que ma trilogie soit une fiction, les péripéties de Michel ont pourtant été réellement vécues lors de mes randonnées arctiques. C'est cet aspect de « fiction réelle » qui fait que l'on ressent l’authenticité et qu'on adhère d'autant mieux aux intrigues « véridiques ».
Mon roman est donc atypique, car j'ai une double vie, celle dangereuse d'un explorateur de l'Arctique et celle confortable d'un professeur des écoles. Cette dualité a induit une histoire originale et pleine d'aventures.
3) Résister pour nos enfants, pour leur transmettre un monde viable.
Mon roman provoque un choc émotionnel, car évidemment nul ne veut condamner ses enfants.
Mais dans un monde si égoïste et cupide, que peut-on faire pour préserver les générations futures, donc ses propres enfants ? Cette question est primordiale dans mon ouvrage et le constat y est sans appel, mais nécessaire :
« Notre maison brûle », malgré une meilleure connaissance des biotopes et une réelle prise de conscience des dangers par la plupart des consommateurs d'images que nous sommes. « Notre maison brûle », malgré les promesses encourageantes de nombreux pays à la fameuse COP 21, malgré le manque de temps et les enjeux vitaux pour l’Humanité. « Notre maison brûle », malgré les conséquences fatales pour nos enfants ! Ces constatations sont très inquiétantes et mobilisent forcément chaque lecteur, chaque parent.
Mais alors que manque-t-il à l'Homme, bien qu'il aime ses enfants plus que tout, pour qu'il refuse de s'autodétruire ? Pourquoi n'a-t-il plus l'instinct de survie des animaux que je connais si bien, qui me permet de tenir debout lors de mes expéditions ?
Jadis de nombreux peuples autochtones (les Inuits par exemple, dont je fais l'éloge) ont vécu à l'écoute de la Nature, en symbiose avec leur Terre. Leur civilisation, contrairement à la nôtre, était pérenne. Qu'ont-ils que nous n'avons plus ? Quel est leur secret ? Qu'ont-ils qu'ils ne peuvent nous donner ? Ces questions sont vitales. Mon roman y répond, avec l'aide des Inuits, sous la forme d'une fiction émouvante, évidemment plus convaincante que des documentaires informatifs télévisés ou écrits. Ces derniers, tout comme les JT alarmistes, n'ont que peu d'impact et nous laissent indifférents, car ils sont seulement informatifs, impersonnels et froids.
4) L'émotion, élément indispensable pour provoquer un déclic et accepter les nouvelles alternatives proposées.
Ma fiction relate la rencontre et l'amitié entre un baroudeur, Michel, et un plantigrade blanc, Moksgm'ol, l'Ours Esprit de la forêt pluviale du Grand Ours (en Colombie Britannique, au Canada).
Dans cette région coupée du monde et du temps, 10% des plantigrades noirs sont blancs pour des raisons assez mystérieuses, encore mal connues des généticiens, surnaturelles pour les peuples autochtones. Cette créature très rare, capable de communiquer par télépathie avec son chaman, incarne l'Esprit de la forêt chez les Indiens Tsimshians. Elle est devenue depuis une décennie un symbole planétaire de la préservation de l'environnement. Cet animal hors du commun, de plus en plus médiatisé, mascotte du Canada depuis les Jeux Olympiques de Vancouver, est le personnage principal de mon récit. Grâce à sa notoriété mes lecteurs s'intéressent à l'Ours Esprit. Très vite ils l'aiment et veulent le sauver, comme s'il était leur propre enfant. L'émotion est au rendez-vous parce que ce fabuleux plantigrade blanc en danger d'extinction, petit à petit, page après page, nous appartient, car il est un peu de nous tous, puisqu'il est devenu l'emblème de notre survie.
Il ne serait pas judicieux que je raconte trop l'histoire de mon roman, mais sachez que :
-Le premier tiers met en place l'univers de la trilogie (l'aventure, la légende indienne de l'Ours Esprit, le contraste entre le monde immuable de la Nature et celui destructeur de l'Homme moderne, mais aussi, au cœur de la fiction, des problématiques environnementales et des questions existentielles). Progressivement le lecteur s'attache à Michel et à son ours.
-Le econd tiers est à la fois plus spirituel et plus engagé. Il commence à apporter des réponses singulières et concrètes à la survie de l'humanité.
-Le dernier tiers est la clé de voûte du scénario, celui du déclic.
5) Conclusion :
Dans mon roman, l'aventure est omniprésente, il n'y a pas de temps mort et l'adrénaline y est une drogue saine et indispensable. C'est d'ailleurs grâce à l'adrénaline que l'on survit en expédition.
Mes écrits vont droit au but, sans perdre de temps, avec peu de descriptions, sans superflu, avec efficacité. C'est ainsi que l'on s'exprime, si l'on veut subsister, dans une forêt primaire dangereuse et imprévisible.
Que manque-t-il à l'Homme pour qu'il refuse de s'autodétruire ? Mon intrigue résout cette énigme vitale, car c'est celle d'un professeur aventurier, celle d'un « animal humain », celle d'un Terrien qui n'a pas oublié son premier devoir : survivre.
Écrire ce roman était pour moi, avant tout, un acte de résistance.