A partir de 3800 mètres, on commence à s'essouffler et on fait régulièrement des pauses. On monte lentement du fait du manque d'oxygène. Je n'aime pas cette sensation, je suis plutôt fonceur, je me rend compte que la montagne ce n'est pas pour moi. Adieu Kilimandjaro et autres rêves.